Parmi les symptômes courants des suites d’un AVC, on retrouve l’aphasie. L’aphasie peut affecter la capacité d’un individu à parler et à comprendre ce que disent les autres. Communiquer peut devenir émotionnellement difficile pour le survivant d’un AVC comme pour le personnel soignant. Voici huit conseils sur la façon de communiquer :
Soyez un compagnon, pas un thérapeute.
Préparez le terrain pour une bonne communication – un bon éclairage, une ambiance détendue, pas ou peu de distractions sonores, comme la télévision.
Parlez normalement avec des pauses en fin de phrase. Évitez la tendance à parler avec condescendance ou à employer un « langage bébé ».
Ne parlez pas plus fort, mais un peu plus lentement.
Facilitez la compréhension en écrivant des mots clés.
Offrez des choix à proposer dans la bonne catégorie.
Soyez prêt à considérer TOUTE forme de communication comme valable : les gestes, l’écriture et le dessin, l’utilisation d’un cahier de communication, l’intonation ou la parole.
Veillez à vous assoir au moins une fois par jour pour avoir une conversation agréable avec votre conjoint ou parent vieillissant. Les moments après le souper sont parfaits pour discuter.