Pensée pour toute les GRAND-MAMANS
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Être mère ça ne s’explique pas, ça se vit, ça se ressent jusqu’au fond des trippes.
C’est un privilège que la vie nous offre. Privilège d’abord de sentir la vie prendre forme en nous, privilège de vivre 9 mois de symbiose avec le petit être à venir et privilège de le nourrir dès son arrivée. J’entends déjà certaines mamans dire : « Privilège, privilège… je m’en serais bien passé de ces nausées, de ces douleurs, de ces quelques kilos supplémentaires…. ». Bon j’avoue qu’à certains moments c’est quand même très loin d’être une partie de plaisir.
Il est fort important notre rôle de mère dans les premières années de vie de nos petits. Nous sommes leur univers; on soigne leurs petits et gros bobos, on les lave, les nourrit, les écoute, les console, les aide, les défend, les amuse, les éduque, les berce, les divertit, les gâte, les réprimande, les guide, etc…
Mais attention, avez-vous remarqué aussi que lorsqu’ils deviennent adultes, lorsque ça va moins bien dans leur vie, c’est dû à leur relation avec leur maman qualifiée de trop sévère, trop permissive, trop aimante, égoïste, préoccupée, inquiète, dépressive, et ceci et cela.
Pourquoi nous faut-il toujours blâmer nos mères (ou nos parents). Avant de nous mettre au monde ils avaient une vie. Ils avaient des désirs, des envies, des buts, des idéaux à atteindre, parfois une carrière, et ils avaient aussi des qualités et… quelques imperfections. Pourquoi faudrait-il qu’avec le statut de « parent » vienne également la perfection ?
En fait, je crois que c’est malheureusement très répandu dans la race humaine d’accuser les autres d’être les auteurs de nos propres malheurs. C’est la faute du voisin, de mon patron, de mon collègue, du règlement, du professeur, de Madame Untelle, de la météo, du gouvernement et surtout de ma mère. Parce qu’il est beaucoup plus facile de blâmer ceux qui nous aiment inconditionnellement, lesquels encaisseront vraisemblablement sans trop riposter et continueront de nous aimer tout aussi inconditionnellement.
Le but de mon propos n’est certainement pas de brasser du négatif. Que non ! La vie est trop belle et trop courte pour être négative. C’est juste de faire prendre conscience à tout un chacun que nous sommes personnellement et individuellement responsable de ce qui nous arrive. À chaque instant de notre vie nous faisons des choix, certains plus aisés que d’autres, qui nous ont mené où nous sommes aujourd’hui.
Nos parents, la majorité d’entre eux, ont fait de leur mieux avec ce qu’ils sont et avec ce qu’ils avaient. Sachons le reconnaître et leur offrir notre gratitude pour cela.
BONNE FÊTE MAMAN !
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